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Actualités sur les Extraterrestres
"Les visiteurs de l'espace, réels ou non,
sont l'objet de discussions à Washington"
Medvedev et les extraterrestes
Le 7 décembre, Dimitri Medvev, discutait en off, du moins le croyait-il, avec la journaliste Marianna Maximovskaya.
Le Premier ministre venait d’être interviewé par cinq journalistes des principales chaînes de télé russe.
Lors de cette conversation à bâtons rompus, censée se dérouler hors micros et caméras, il a répondu à une étonnante question posée par Marianna Maximovskaya :
« Vous disposez de dossiers secrets sur de nombreux sujets qui vous permettent de savoir tout sur tout.
Par exemple, pouvez-vous nous dire si oui ou non, des extraterrestres, des « petits hommes verts », sont venus sur Terre ? »
Voici ce qu’a répondu Medvedev sans savoir que les caméras enregistraient ses propos :
« Je vais vous le dire pour la première et la dernière fois.
Avec la mallette des codes nucléaires, le président reçoit plusieurs dossiers top-secrets.
Parmi ceux-ci, l’un d’eux est entièrement consacré aux "étrangers" qui visitent notre planète.
En plus de cela, vous recevez un rapport sur un service absolument secret qui s’occupe de la surveillance des aliens sur notre territoire…
Vous pouvez obtenir plus d’informations sur ce sujet en regardant le célèbre documentaire russe "les hommes en noir" (http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=kIyrpTv2kUg).
Je ne vais pas vous dire combien vivent parmi nous parce que cela pourrait créer une panique… »
Conclusion ?
Il semble que nous ayons affaire à une perle particulièrement glacée et sophistiquée d’humour slave.
Quoique…
Un petit tour d’horizon de la presse internationale montre qu’un doute subsiste encore sur le sérieux ou non de la réponse en off de Medvedev à Marianna Maximovskaya mêlée à d’autres considérations à l’emporte-pièce sur les retards de Poutine ou le Père Noël…
« Les propos du Premier ministre ont créé un choc en Russie même si aujourd’hui la majorité des gens estime qu’il a simplement voulu se moquer de la journaliste » lit-on sur info-altai.ru .
Les médias étrangers, du Sunday Times, au Washington Post partagent la même opinion et le site de la chaîne ABC suggère même une explication guère flatteuse à cette saillie humoristique : « Vodka ! ».
Toutefois, le journaliste sportif et ufologue Flavio Vanetti, sur son blog abrité par le quotidien italien, Corriere della Serra, laisse entendre un autre son de cloche.
Il cite le journaliste Mikhail Zygar, directeur de la rédaction de Dojd, une nouvelle chaîne très critique envers le pouvoir.
Mikhail Zygar, qui faisait partie des cinq intervieweurs du Premier ministre, a assisté à la conversation entre Medvedev et Marianna Maximovskaya et l’a enregistrée avec son iPad.
Il précise que sa collègue l’avait averti qu’elle allait poser cette question a priori saugrenue.
« Je peux affirmer avec une absolue certitude que Dimitri Medvedev est en possession d’informations précises sur l’existence des extraterrestres.
Ce que je dis est important car cela s’oppose radicalement aux interprétations et aux commentaires qui ont suivi.
Quand la question de Marianna est tombée, le Premier ministre s’est comporté d’une façon étrange à tout point de vue.
Il ne donnait pas du tout l’impression de plaisanter.
Durant toute sa tirade sur le dossier secret des extraterrestres et leur présence sur Terre, aucun muscle de son visage ne bougeait.
Même quand des sourires ont commencé à apparaître autour de lui, il est resté impassible.
Un homme politique de son rang ne se serait jamais laissé aller à de telles confidences s’il n’avait pas eu la certitude que les micros et les caméras étaient éteints.
Il ne pouvait pas imaginer que cette conversation serait rendue publique. »
Précisons que Mikhaïl Zygar est un jeune journaliste dont la réputation de courage et de sérieux n’est plus à faire en Russie.
Sa chaîne, Dojd, est la seule à avoir couvert intégralement les manifestations anti-Poutine lors de sa réélection à la présidence.
Il est aussi le co-auteur, avec Valery Paniouchkine, de « Gazprom : l’arme de la Russie », une enquête à charge sur le géant de l’industrie gazière.
Le pape François et les extraterrestres
C’est du moins ce que laisse entendre le père José Gabriel Funes, 50 ans, un jésuite argentin, comme Jorge Mario Bergoglio, directeur de l’Observatoire du Vatican.
Cet astronome avait fait passer des frissons de plaisir sur la communauté ufologique en accordant à l’ Osservatore Romano une interview titrée « L’extraterreste est mon frère ».
Dans cet entretien paru en 2008, il affirme qu’il n’existe aucune incompatibilité entre la foi catholique et la possibilité d’existence d’autres formes de vie intelligentes.
Saint François d’Assises, promu saint patron des ufologues
Pour appuyer sa démonstration, il en appelle à Saint François d’Assises :
« Comme lui, nous appelons nos frères d’autres créatures terrestres.
Alors, pourquoi ne pourrions-nous pas dire ‘Notre frère, l’alien’ ? ».
Or, saint François d’Assises, ainsi promu saint patron des ufologues, est l’inspirateur du souverain Pontife qui a choisi son nom en hommage au saint qui parlait aux oiseaux.
José Gabriel Funes connaît de longue date le Saint Père.
Lors de son admission chez les Jésuites, l’un des trois examinateurs qui ont validé sa candidature était Jorge Mario Bergoglio.
Le directeur de l’observatoire du Vatican souligne, dans une interview à Catholic News Service, que le pape peut se targuer d’un solide bagage scientifique.
Il a suivi une formation de technicien en chimie avant d’entrer au noviciat.
Le père Funes estime que cet intérêt de jeunesse pour les sciences est d’excellent augure pour sa propre discipline, même si, nuance-t-il, « le pape aura dans premier temps d’autres priorités ».
Et pour ceux qui douteraient encore que la divulgation viendra du saint-siège plutôt que de la Maison Blanche, voici, pour ceux qui l’ont manquée, la vidéo de l’ovni qui aurait survolé le Vatican lors de l’élection du pape.
Aux Etats-Unis, les OVNIs entrent en politique
Le 17 mai 2013 | Mise à jour le 22 mai 2013
http://www.parismatch.com/Chroniques/David-Ramasseul/Aux-Etats-Unis-les-OVNIs-entrent-en-politique-515110
Dark Zone
David Ramasseul
Aux Etats-Unis, le lobby de la divulgation, qui fait pression sur le gouvernement américain pour qu’il lève le secret sur le dossier ovni, a frappé fort.
Entre le 29 avril et le 3 mai, Stephen Bassett, l’un des principaux activistes de ce mouvement, à la tête du Paradigm Research Group, a organisé le «Citizen Hearing on Disclosure», (L’Audience citoyenne de la divulgation).
Pendant cinq jours, des témoins se sont succédé à la tribune du National Press Club pour relater leur rencontre plus moins rapprochée avec des engins et des créatures hautement insolites.
L’intérêt de ce colloque tient en grande partie à la qualité de certains intervenants : hauts gradés, politiques, scientifiques, anciens membres des services de renseignements US, astronautes…
Beaucoup sont des compagnons de route de longue de date de Stephen Bassett. Parmi eux, Edgar Mitchell, le sixième homme sur la Lune, convaincu que notre planète est ‘visitée’; l’inévitable Nick Pope, ancien M. OVNIs du gouvernement britannique ; le capitaine Robert Salas, qui aurait assisté à la désactivation de missiles nucléaires par un ovni sur la base de Malmstrom en 1967 et l’ancien ministre de la Défense canadien Paul Hellyer déjà auteur de déclarations fracassantes et qui, cette fois encore, a poussé le bouchon assez loin.
Nous y revenons plus bas…
Mais la conférence valait aussi par son auditoire. Stephen Bassett a tenté de reproduire le décorum et la solennité d’une audience au Congrès. Pour ce faire, il a convaincu six anciens élus de tous bords de former un panel censé écouter les témoignages des orateurs et leur poser des questions, de préférence avec les sourcils froncés, signe d’un profond intérêt. Et la manœuvre a fonctionné puisque ces «Audiences», dont l’ambitieux slogan était «Si le Congrès ne fait pas son travail, le peuple le fera», ont obtenu une bonne couverture médiatique, aux Etats-Unis du moins.
Même le prestigieux ‘New York Times’ y a consacré un article qui ne suinte pas trop l’ironie condescendante que la presse sérieuse réserve d’ordinaire à ces sujets. Le quotidien cite l’ex-sénateur démocrate de l’Alaska, Mike Gravel (aujourd’hui libertarien) qui lâche : «La Terre est placée sous surveillance, et même sous surveillance rapprochée car nous aimons trop la guerre».
Quant à Carolyn Kilpatrick, ancienne représentante démocrate du Michigan, battue en 2010, elle déplore : «Dans notre pays, on tourne ce sujet en dérision. Mais je suis convaincue qu’il mérite beaucoup plus d’attention. Ce n’est pas une blague : il y a des données scientifiques qui indiquent qu’il se passe quelque chose.»
Les raisons pour lesquelles ces élus ont accepté de participer au «Citizen Hearing on disclosure», au risque d’entacher leur crédibilité, sont multiples. Mais le 'New York Times' en retient deux :
1) Une saine curiosité
2) Les 20 000$ offerts à chaque auditeur issu du sérail politique pour assister aux cinq jours de conférence et poser quelques questions aux intervenants
On en ajoutera une troisième : étant donné la propagation des théories conspirationnistes dans le corps électoral américain (voir ce sondage à http://www.parismatch.com/Actu/International/Obama-l-Antechrist-et-autres-complots-un-sondage-fou-fou-fou-508544), certains élus n’hésitent plus à leur tour à entonner la ritournelle du ‘on nous cache tout on nous dit rien’.
Mais qu’ont donc entendu les ex-représentants du peuple américain qui, pour certains, ont paru sincèrement troublés…
Voici les interventions les plus marquantes de ce comité :
-Gary Heseltine, un officier de police anglais, a créé en 2001 une base de données des observations d’ovni au Royaume-Uni par des policiers. En 12 ans, il a recensé 430 cas impliquant 900 membres des forces de l’ordre. 73% de ces observations ont été rapportées par plusieurs policiers : en avril 1984, dans le Middlesex, une vingtaine d’officiers de police a vu pendant deux heures un objet en forme de dôme projetant des «boules lumineuses» vers le sol. Cette observation a été retranscrite dans un rapport communiqué au ministère de la Défense.
-Le colonel Oscar Santa Maria Huerta, qui a servi pendant 25 ans dans l’armée de l’air péruvienne, a raconté son combat aérien avec un objet en forme de sphère évoluant à proximité de la base militaire de La Joya, à Arequipa, le 2 mai 1980. Oscar Huerta a décollé à bord de son Sukhoi 22 pour intercepter l’objet d’environ 10 mètres de diamètre, formé d’une sorte de bulbe blanc crémeux reposant sur un socle d’apparence métallique.
D’abord convaincu qu’il s’agissait d’un ballon espion, le pilote a été rapidement détrompé par les capacités de vol ahurissantes de l’objet au cours d’un «jeu du chat et de la souris» qui a duré exactement 22 minutes.
Oscar Huerta n’est parvenu qu’une seule fois à se mettre en position de tir : «Mais l’objet a semblé absorber les projectiles qui n’ont occasionné aucun dommage visible» a-t-il expliqué. Cette incroyable poursuite a été observée à distance par les quelque 1800 personnes présentes sur la base ce jour-là .
-Le témoignage écrit du major de l’US Air Force George Filer est assez similaire au précédent. A ceci près, que sa rencontre avec un ovni l’a conduit à partager la table du prince Philip, l’époux de la reine d’Angleterre. Affecté à la base de Sculthorpe, au Royaume-Uni, il a été missionné en janvier 62 avec son équipage pour aller à la rencontre d’un objet repéré par les contrôles radars londoniens entre Stonehenge et Oxford. L’objet est apparu sur l’écran de son radar embarqué à bord du bombardier KB-50 J : «L’écho radar était comparable à celui renvoyé par un porte-avion ou même par le pont de Brooklyn. Mais il était parfaitement clair avec des contours définis, indice qu’il était composé de métal. A environ 10 km du point d’interception, l’objet, dont nous pouvions voir les lumières alignées comme les feux de position d’un navire, a semblé s’animer. Il est devenu incroyablement brillant. Puis, soudain, il est parti verticalement à une vitesse fantastique.»
Quelques semaines plus tard, George Filer et son équipage ont eu la surprise de recevoir une invitation du duc d’Edimbourg qui s’est montré «chaleureux, amical et très intéressé» par leur aventure. Le prince Philip leur a confié qu’il avait déjà débriefé en plusieurs occasions des pilotes après leur rencontre avec un objet volant non identifié, rappelant que son oncle, le duc Mountbatten, avait lui-même observé de très près un ovni.
Les six représentants du Congrès ont aussi eu droit à leur lot d’anciens agents des services de renseignements, les traditionnels «whistleblowers» (chuchoteurs de secrets) faisant état de bases secrètes où seraient détenus des aliens et de technologies extra-terrestres étudiées par le Pentagone…
L’ufologue Richard Dolan a ainsi présenté une vidéo de 15 minutes dans laquelle un homme de 77 ans,qui se présente comme un vétéran de la CIA assez mal en point relate une histoire digne d’un scénario de X Files, où l’on retrouve Roswell, la Zone 51, le président Eisenhower, des «petits gris», Edgar J. Hoover etc.
Des récits impressionnants mais peu étayés qui ne font qu’alimenter une approche conspirationniste du dossier ovni, plus racoleuse que constructive.
Toutefois, parmi ces intervenants, l’un d’entre eux peut se targuer d’une carrière politique qui lui assure a priori un certain crédit : le sus-nommé Paul Hellyer, ministre de la défense du Canada entre 1963 et 1967. Hellyer a fait irruption dans le monde ufologique avec un discours mémorable prononcé en 2005 à l’université de Toronto.
Il y déclarait :«Les OVNIs sont aussi réels que les avions», «Le secret qui couvre toutes les questions se rapportant à l'incident de Roswell est sans précédent» «L'administration Bush a autorisé les militaires à construire une base avancée sur la lune», «Les Etats-Unis mettent au point des armes qui pourraient être utilisées contre les extraterrestres»…
Du lourd, du très lourd, voire du lourdingue.
Mais le vétéran de la politique canadienne, 87 ans aux chanterelles, en a remis une couche aux ‘Audiences citoyennes de la divulgation’.
Selon Paul Hellyer, les Etats-Unis travaillent en étroite collaboration avec deux races d’extraterrestres, dont les fameux grands blancs White Talls (Grands Blancs).
Mais qui sont loin d’être les seuls «touristes» cosmiques.
«Je pensais que nous étions visités en permanence par cinq races différentes, mais, il y a quelques jours, je suis tombé sur un document qui en dénombre au moins vingt» dit-il.
Grâce à ces fructueux transferts de technologies, les Etats-Unis détiennent le secret d’une énergie libre inépuisable, gratuite et non polluante.
Mais, bien entendu, pour de sombres intérêts économiques, le gouvernement américain refuse d’offrir à l’humanité cette énergie miraculeuse qui pourrait sauver la planète. Après tout, pourquoi pas…
Trois exoplanètes potentiellement habitables autour d'une seule étoile
© afp. édité par : Caroline Albert le 25/06/13 - 15h34 Source: Belga
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/1658007/2013/06/25/Trois-exoplanetes-potentiellement-habitables-autour-d-une-seule-etoile.dhtml
Des astronomes de l'Observatoire européen austral (ESO) ont découvert dans la constellation du Scorpion un système solaire "doté d'une zone habitable bien remplie", avec trois "super-Terres" où les conditions seraient compatibles avec l'existence d'eau liquide.
C'est autour de l'étoile Gliese 667C, d'une masse équivalente à un tiers de celle de notre Soleil, que l'équipe a fait cette trouvaille, à l'aide de l'instrument HARPS équipant le télescope de 3,6 mètres de l'ESO au Chili, indique l'organisation dans un communiqué.
Le système de trois étoiles auquel appartient Gliese 667C est abondamment étudié par les scientifiques. Non seulement il est dans le voisinage immédiat de notre système solaire (22 années-lumière) mais il est aussi étonnamment similaire. Il représente donc un candidat de choix pour la recherche d'exoplanètes potentiellement habitables.
"Nous savions, d'après des études antérieures, que l'étoile (Gliese 667C, ndlr) était entourée de trois planètes, nous voulions donc vérifier l'éventuelle existence d'autres planètes", explique Mikko Tuomi de l'Université britannique de Hertfordshire. "En ajoutant de nouvelles observations et en revisitant les données existantes, nous avons été en mesure de confirmer l'existence de ces trois corps et d'en découvrir de nouveaux", ajoute-t-il.
Trois "super-Terres"
Au total, les astronomes ont donc identifié au moins cinq planètes, deux autres demandant encore à être confirmées. Le système serait notamment composé de trois "super-Terres", plus massives que notre planète mais moins que les géantes Uranus ou Neptune, et "vraisemblablement rocheuses".
Elles occupent en outre la zone habitable de l'étoile, une mince bande située autour de l'étoile et au sein de laquelle l'eau est susceptible d'être présente à l'état liquide si les conditions sont propices. Et par conséquent une éventuelle forme de vie. "C'est la toute première fois que trois planètes de ce type ont été repérées dans cette zone d'un même système", souligne l'ESO.
Un résultat très encourageant car "nous savons à présent qu'il nous suffit d'observer une seule étoile pour découvrir plusieurs planètes plutôt que d'observer dix étoiles à la recherche d'une seule planète potentiellement habitable", estime Rory Barnes (Université de Washington, Etats-Unis), co-auteur de l'étude.
Entente USA - Exoterrestres en 1954 !
On appelle EBE (Entité Biologique Extranéenne) celui qui a survécu à l’accident de Roswell, en 1949. Ce nom a été proposé par le docteur Vannever Bush. EBE avait tendance à mentir, et au cours de la première année de sa détention, il ne donnait que les réponses que l’on attendait de lui. Il ne répondait pas aux questions qui impliquaient une réponse indésirable. Vers la fin de la deuxième année, il a commencé à s’ouvrir et à livrer des informations qui étaient pour le moins surprenantes. La compilation de ses déclarations a jeté les bases de ce qui est devenu plus tard le « Yellow Book ». Bill Englisch et moi-même avons pu voir des photos d’EBE, pendant notre service au département Grudge 13.
À la fin de 1951, EBE est tombé malade. Les médecins spécialistes ne pouvaient pas trouver les causes de la maladie. Il n’y avait eu aucun précédent dont on aurait pu profiter. Les fonctions organiques d’EBE étaient basées sur la photosynthèse, il transformait l’alimentation en énergie, comme les plantes. Ses déchets organiques avaient une apparence végétale. On a décidé d’appeler un botaniste pour aider EBE à guérir. Le docteur Mendoza a fait ce qu’il a pu, mais EBE est mort au milieu de 1952. Mendoza est devenu ensuite un des grands spécialistes de biologie extranéenne.
Alors qu’ils faisaient tout pour sauver EBE, et pour amadouer ceux qui venaient nous rendre visite, les Américains ont envoyé un message dans le cosmos au début de 1952. Le message est resté sans réponse, mais le projet a continué, comme signe de bonne volonté.
Le 4 novembre 1952, le président Truman a fondé la National Security Agency (NSA), chargée de décoder la communication des aliénigènes et d’entrer en contact avec eux. Il était urgent de poursuivre les efforts, l’opération a pris le nom de code Sigma.
Une des autres tâches de la NSA était d’écouter toutes les communications et émissions dans le monde, indépendamment de leur origine, pour centraliser les informations et maquiller la présence des extranéens.
Le projet Sigma a été un succès. La NSA est en communication avec la base LUNA et ses projets dans l’espace. Par ordre présidentiel, la NSA se trouve au-dessus des lois, qui ne la citent pas nommément, mais qui ont été crées pour elle. La NSA accomplit actuellement de multiples tâches, elle est la tête de pont la plus importante des services secrets. 75 % du budget alloué aux services spéciaux lui reviennent.
Comme dit le dicton : « Où va l’argent va le pouvoir ». Le directeur de la CIA n’est aujourd’hui qu’un homme de paille que l’on entretient pour l’opinion publique.
Depuis l’accident de Roswell, le président Truman avait averti les Alliés et l’Union Soviétique du développement du problème aliénigène, afin de préparer la riposte à ce qui pourrait être une menace sérieuse pour l’humanité. Des plans ont été étudiés pour pouvoir se défendre, en cas d’invasion. Le secret était difficile à garder.
Une organisation s’imposait pour surveiller et coordonner les efforts internationaux, pour maintenir le secret et protéger les gouvernements des curiosités de la presse. Ce groupe s’est constitué en société secrète, il est connu sous le nom des Bilderberger (d’après le lieu où il a vu le jour, le Bilderberger Hotel à Oosterbeek, Hollande). Le quartier général de cette organisation est à Genève en Suisse.
Les Bilderberger se sont transformés en gouvernement mondial qui contrôle toutes les activités de la planète.
Les membres des Bilderberger se rencontrent au moins une fois par an, dans des endroits différents. En 1988, c’était à Telfz, près d’Innsbruck, en Autriche.
Le chancelier Kohl était présent. En 1989, la rencontre a eu lieu dans le Colorado.
En 1953, un nouveau président est appelé à la Maison Blanche … [il] avait fait une carrière fulgurante dans l’armée, il avait atteint le grade le plus élevé du commandement allié, un poste qui lui avait valu 5 étoiles.
Il s’agit du général Dwight David Eisenhower. Au cours de la première année de son mandat, en 1953, on a identifié pas moins de 10 soucoupes accidentées, qui avaient fait 26 morts et 4 survivants. 4 engins ont été trouvés en Arizona, 2 au Texas, 1 au Nouveau Mexique, 1 en Louisiane, 1 au Montana et 1 en Afrique du Sud.
Des centaines d’OVNI ont pu être observés pendant cette période.
Eisenhower savait qu’il devait se confronter à ce problème et le résoudre. Il savait aussi qu’il ne pouvait pas impliquer le Congrès dans cette histoire. Au début de 1953, il s’est adressé à un ami et membre comme lui du CFR, Nelson Rockefeller, pour lui demander conseil.
Eisenhower et Rockefeller ont décidé de créer une nouvelle organisation, secrète, dont le seul objectif était de surveiller les activités extranéennes. En moins d’un an, elle était sur pied, on lui a donné le nom de MAJESTIC 12 (MJ 12).
L’oncle de Nelson, Winthrop Aldrich, avait réussi à pousser Eisenhower à se présenter à l’élection présidentielle. Les Rockefeller et leur empire le soutenaient, mais la demande d’aide qu’il avait formulée vis-à -vis de Rockefeller allait se révéler être une de ses plus grandes erreurs, pour l’avenir des États-Unis et du monde entier sans doute.
Dans les semaines qui ont suivi son élection, Eisenhower a nommé Nelson Rockefeller responsable du conseil présidentiel pour l’organisation du nouveau gouvernement. Les programmes du New Deal ont été rassemblés sous le toit d’un seul ministère, appelé Département de la Santé, de l’Éducation, et des Affaires sociales.
Avec l’approbation du Congrès, Rockefeller est devenu sous-secrétaire d’état au ministère Orveta Culp Hobby.
En 1953, les astronomes ont découvert de nombreux objets dans l’espace qui s’approchaient de la Terre.
On croyait tout d’abord qu’il s’agissait d’astéroïdes. Mais les indices montraient clairement qu’il s’agissait d’Ovni.
Le projet Sigma réussit à intercepter les communications des aliénigènes.
Quand les vaisseaux se sont retrouvés près de la Terre, ils se sont mis en orbite au-dessus de l’Équateur, à très haute altitude. Les vaisseaux étaient gigantesques et personne ne connaissait leurs véritables intentions.
Grâce à des contacts radio et l’aide d’un nouveau groupe de surveillance, appelé Platon, un atterrissage a été arrangé, pour permettre un contact de visu avec ses êtres venus du cosmos.
L’atterrissage a eu lieu dans le désert.
Le film Rencontre du troisième type est la version cinématographique d’événements bien réels.
Leprojet Platon a été chargé des relations diplomatiques avec les aliens de l’espace.
Ceux-ci ont laissé un otage sur terre, en lui promettant qu’il retournerait bientôt chez les siens.
Entre-temps, une autre race d’extranéens avait établi des contacts avec le gouvernement américain. Ils se sont posés à la base militaire de Homestead, en Floride. Ces extraterrestres nous ont mis en garde contre ceux qui tournaient en orbite autour de l’Équateur, ils nous ont proposé leur soutien pour un développement plus spirituel. La condition était le démantèlement et la destruction de l’arsenal nucléaire.
Ils refusaient un échange de technologie, en insistant sur notre immaturité spirituelle et notre incapacité à maîtriser la technologie dont nous disposions.
Ils pensaient que nous n’utiliserions toute nouvelle technologie que pour nous détruire mutuellement. D’après eux, nous étions sur la voie de l’autodestruction, il fallait l’arrêter, de polluer la Terre, de piller les ressources naturelles et apprendre à vivre en paix et en harmonie.
Évidemment, ces conditions éveillaient des soupçons chez les dirigeants américains, surtout l’abandon de l’arsenal nucléaire. On pensait qu’en détruisant les armes nucléaires, on se retrouverait sans défense face à une attaque éventuellement d’Aliens. Dans l’histoire, il n’y avait eu aucun précédent. Le démantèlement nucléaire n’était pas à l’ordre du jour, ce n’était pas dans l’intérêt des États-Unis, l’offre a donc été refusée.
Au cours de l’année 1954, les extraterrestres gris, qui avaient des grands nez, ont atterri à la Holloman Airfoce Base. Un accord a pu être conclu. Ces êtres prétendaient venir d’une planète de la constellation d’Orion, qui comprenait une étoile rouge que nous appelons Bételgeuse. Ils disaient que leur planète était en train de mourir et qu’ils ne pouvaient plus continuer à vivre là -bas.
Un 2e rendez-vous a été fixé, cette fois sur la Edward Airforce Base. La base avait été fermée pour 3 jours, personne n’avait le droit d’y pénétrer ou d’en sortir. Cette rencontre historique avait été bien préparée et tous les détails pour un traité futur étaient déjà élaborés. Eisenhower avait arrangé des vacances à Palm Springs.
Le jour de la rencontre, le président a été conduit sur la base californienne.
Pour la presse, Eisenhower étaient allé à un rendez-vous chez le dentiste. Des témoins oculaires affirment avoir vu ce jour-là 3 vaisseaux extraterrestres survoler la base avant d’atterrir. À cette époque, un nouveau type de DCA faisait l’objet de test sur cette base, et les équipes ffarées avaient commencé à tirer sur les vaisseaux, ne faisant heureusement aucun dégât.
Le président Eisenhower a rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, il a signé un accord formel entre les États-Unis et leur nation. C’est là qu’est apparu le premier ambassadeur de l’espace. Son nom et son titre étaient : Son Altesse Toute Puissante Krll (prononcer Krill). Comme les Américains n’aiment pas les titres ronflants, ils l’ont appelé l’ "otage Krill".
4 autres personnes qui ont assisté à cette rencontre sont Franklin Allen du journal « Hearst Newspaper », Edwin Nourse du « Brookings Institute », Gerald Light, métaphysicien reconnu et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. La réaction de ces 4 personnes devait servir de test pour évaluer la réaction de l’opinion publique. En observant leurs réactions, il a été décidé que l’opinion n’était pas mûre pour une publication des événements. Des études ultérieures ont conclu que la décision était justifiée.
Une lettre pleine d’émotion de Gerald Light, décrit précisément ce qui s’est passé : « Cher ami, je reviens à l’instant de Muroc. Le rapport est authentifié! J’ai fait le voyage accompagné de Franklin Allen du Hearst Newspaper, d’Edwin Nourse et de L’évêque de Los Angeles.
Quand nous avons pu entrer dans la zone interdite, j’ai eu le pressentiment étrange que le monde était arrivé à une conclusion de réalisme fantastique. D’un côté, je n’avais jamais vu autant de personnes réunies qui étaient dans un tel état chaotique d’effondrement nerveux, parce qu’ils avaient réalisé que leur petit monde s’était écroulé.
La réalité de la présence de vaisseaux d’une autre dimension a éloigné à tout jamais les spéculations et a laissé une expérience douloureuse dans la conscience des politiques et des scientifiques qui étaient présents. Je suis resté 2 jours sur la base et j’ai pu voir 5 vaisseaux différents, qui faisaient l’objet d’études de la part du personnel de l’Air Force, avec le soutien bienveillant des extranéens (Etherians)!
Les mots me manquent pour expliquer mes réactions. C’est donc bien arrivé. Maintenant, c’est un fait historique! Le président Eisenhower est venu ici à Muroc, pour une nuit. Je suis persuadé qu’il va éluder le conflit extrême qui existe entre les différentes autorités et qu’il va s'adresser à la nation, par la radio et la télévision, si on ne sort pas rapidement de cette impasse. D’après ce que je sais, on est en train de préparer une déclaration officielle qui doit être diffusée à la mi-mai. »
Nous savons qu’il n’y aura jamais de publication officielle.
Les « contrôleurs » ont encore bien fait leur travail. Nous savons aussi qu’il y a eu en tout 5 vaisseaux qui ont atterri sur la base militaire. Gerald Light a mis l’accent sur le fait que les vaisseaux étaient au nombre de 5. Il a donné à ces êtres le nom d’Etherians, ce qui est une indication qu’il voyait en eux des « dieux », comme d’autres l’avaient fait avant lui.
Il faut également préciser que l’on a vu le drapeau de ces aliénigènes : des enseignes trilatérales. On pouvait le voir sur les vaisseaux et sur les uniformes.
Les 2 atterrissages et la rencontre ont été filmés. Ces images existent encore quelque part.
L’accord prévoyait que les extranéens ne devaient pas s’immiscer dans nos affaires intérieures, et inversement.
Nous nous engagions à respecter le secret de leur présence. Ils nous aideraient dans notre développement technologique et scientifique.
Ils avaient pris aussi l’engagement de ne traiter avec aucune autre nation de la Terre. Il leur était permis d’enlever des hommes, en quantité et en temps limités, pour les observer, à la seule condition que ces hommes ne subissent aucun dommage et qu’ils soient ramenés à l’endroit où ils avaient été enlevés. Les personnes ne devaient également se rappeler de rien.
Les aliénigènes devaient fournir à MJ12 les listes de leurs contacts humains. Il a été convenu d’un échange d’ambassadeur, pour la durée de l’accord, et d’un échange de 16 hommes, pour pouvoir faire connaissance.
Pendant que les « invités » extranéens séjournaient sur terre, certains des nôtres devaient faire le voyage sur leur planète d’origine, ce qui a été montré de façon dramatique, comme nous l’avons déjà indiqué, dans le film de Spielberg « Rencontre du troisième type ». Pour bien comprendre qui travaille pour qui, il faut savoir que le Dr. Allen Hynek était conseiller technique pendant le tournage du film. Il est intéressant de savoir que le rapport secret, qui contient entre autres les conclusions du projet Grudge, a été écrit par Hynek et le Lt. Col. Friend. Hynek faisait partie du projet Grudge, il était responsable du maquillage des cas d’OVNIs, tout en étant membre scientifique du projet « Bluebook ».
On s’est mis d’accord pour construire 2 bases souterraines, réservées aux aliénigènes, et 2 autres qui devaient être utilisées en commun. L’échange de technologie devait se dérouler dans ces bases communes.
Les 2 bases réservées aux extranéens ont été établies dans des réserves indiennes entre l’Utah, le Colorado, le Nouveau Mexique et l’Arizona. Une autre base a été construite dans le Nevada, dans la zone que l’on appelle S4, à peu près à 7 miles au sud de la frontière ouest de la Zone 51, connu sous le nom de « Dreamland ». « Dreamland » a été construite dans le désert Mojave, près du lieu-dit Yucca. Dans le désert Mojave, on a relevé plus de témoignages que dans d’autres parties du monde sur les OVNIs.
Ces témoignages sont si nombreux que les gens du coin n’y font même plus attention. Celui qui se trouve dans cette région pourra constater une activité particulièrement intense au-dessus du désert. Tous les domaines exploités par les aliénigènes sont sous contrôle du ministère de la Marine, le personnel qui y travaille est sous sa surveillance.
http://mutien.com/site_officiel/?p=847#more-847
Le gouvernement du Mexique dévoile des pièces mayas
prouvant le contact extra-terrestre
Pour ceux qui avaient encore des doutes en ce qui a trait aux contacts extra-terrestres avec nos anciennes civilisations, cette fois, on ne peut plus clairs! Le gouvernement mexicain a frappé un grand coup dans l’histoire cachée de l’humanité. Dans la section archéologie oubliée, le pays dévoilera publiquement une série de pièces Mayas découvertes il y environ 80 ans par une équipe du National Institute of Anthropoly and History (INAH) sur le site de Calakmul au Mexique.
Ces pièces exceptionnelles ont déjà été présentées l’an dernier et feront l’objet d’un documentaire qui sortira cet automne et qui sera produit par Raul Julia-Levy et réalisé parJuan Carlos Rulfo, le gagnant du festival Sundance 2006 avec son film « In the pit ». Ce documentaire porte le nom provisoire « Revelations of the Mayans 2012 and beyond ».
L’une des pièces maîtresses dévoilées est un disque on ne peut plus explicite. On peut y voir clairement 4 engins, communément appelés OVNI, dont l’une démontre par une extraction, un astronaute (5) aux commandes de son engin (6). Les deux cercles au centre (1) sont présentement considérés comme une planète à atmosphère de par les deux cercles le suggérant et qu’on peut supposer être la Terre du fait de la présence d’un astre à proximité qui semble être la Lune. À droite, ce qui semble être une comète (3) avec un OVNI (2) dans son sciage, puis, à gauche, un autre engin (4) qui semble intervenir directement sur la comète comme porteur d’un bélier pour frapper la comète.
Une autre pièce fort intrigante semble représenter une éruption solaire. Le soleil envoie un jet de rayon vers la même planète à atmosphère, soit la Terre, événement régulièrement mesuré par la NASA dont vous pouvez suivre l’activité sur le site Space Weather. Trois Ovnis sont présents sur cet artefact dont l’un est directement dans le jet plasmique. Une autre planète est également présente, mais il est difficile de préciser laquelle de notre système solaire.
Cette pièce fort importante semble confirmer les informations que nous recevons par diverses canalisations et qui nous informent du rôle majeur du soleil dans les événements à venir . Celui-ci est la clé de notre élévation de conscience et cet artefact vieux de 1,300 ans semble nous l’indiquer. Les Maya savaient que nous étions dans le 5e et dernier cycle de 5125 ans d’un plus grand cycle de 26,000 ans. C’est ce que leurs calendriers mesuraient. Par ailleurs, les scientifiques de la NASA prévoient une éruption majeure d’ici la fin de 2013 ce qui corrobore l’ensemble des informations obtenues.
Klauss Dona accompagné du Dr Nassim Haramein ont présenté des photographies de certaines pièces lors d’une conférence au Congresshalle à Saarbrücken en Allemagne, le 11 juin 2011. Vous trouverez au bas de cet article la référence aux extraits de cette conférence.
Les autres pièces sont des représentations qui ressemblent étrangement
aux petits bonshommes E.T. que nous connaissons.
Ce qui est encore plus troublant sont les révélations du ministre du Tourisme mexicain, Luis Augusto Garcia Rosado qui déclare que :
1) La traduction de codex relate les contacts entre les extra-terrestres et le peuple Maya.
2) Des pistes d’atterrissage daté à 3,000 ans ont été trouvées dans la jungle.
3) Ils possèdent des preuves que les Mayas avaient l’intention de mener cette planète pour des milliers d’années, mais qu’ils ont été forcés de s’échapper après une invasion « d’êtres aux sombres intensions » laissant derrière eux les évidences d’une race hautement avancée.
Je crois qu’à l’approche de la date de fin de cycle du calendrier maya, les autorités mexicaines semblent avoir fait un examen de conscience dont le résultat a été d’informer le public. Je crois également qu’il s’agit du bon choix et que celui-ci devrait servir d’exemple pour les autres nations, je pense, entre autres, aux États-Unis où un changement d’attitude important s’impose.
N’oubliez pas que nous sommes à la période des révélations où tout ce qui était caché se dévoile. Les scandales de tout sort au même titre que l’archéologie cachée font partie de ce grand dévoilement. Si vous me demandez mon avis, je vous dirai que nous n’en sommes qu’au début des surprises de cette magnifique période qui s’ouvre à nous. Pour ceux dont ce dévoilement est un véritable choc, je vous implore d’ouvrir votre conscience, car vous n’êtes pas au bout de vos découvertes.
Article publié le 27 aout 2012
Références
Sources :
http://www.rtbf.be/info/medias/detail_un-documentaire-va-prouver-les-contacts-entre-mayas-et-extraterrestres?id=6837553
http://www.guardian.co.uk/film/2011/sep/29/mayan-documentary-alien-mexico
http://www.reuters.com/article/2011/09/26/idUS333894436320110926
http://www.thewrap.com/movies/column-post/guatemala-cooperate-doc-about-mayans-and-aliens-31162
Dr. Nassim Haramein: http://theresonanceproject.org/about/personnel/nassim-haramein
À propos de Klauss Dona : Voir mon article :http://inferenceplanetaire.wordpress.com/2012/01/29/les-pyramides-antiques-dans-le-monde/
Conférence de présentation, lien vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=glV-C7fqAX8&feature=player_embedded http://www.youtube.com/watch?v=EpHTMoPAil4&feature=player_embedded
Site de Calakmul (ou Kalakmul) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calakmul
INAH : http://www.inah.gob.mx/index.php/home
Lu ici
http://www.wikistrike.com/article-le-gouvernement-du-mexique-devoile-des-pieces-mayas-prouvant-le-contact-extra-terrestre-119634758.html